Un proverbe allemand prétend que « le poisson pue par la tête« .
Bouteflika est mort. Les algériens ont été bien trop longtemps les victimes de cet homme qui a fini sa vie comme un zombie et qui a pourri la destinée du pays.
Era ora ! Il était temps.
Je peux maintenant ressortir mon petit poème au vitriol « Président guacamole » composé en janvier 2017 :